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par Sonia Valognes 25 novembre 2024
Faire taire ses émotions fait naitre très tôt ce que je nomme le « mécanisme du deuil de soi », qui consiste à se placer systématiquement en retrait, en second plan, voir à un plan inexistant, dit « sacrificiel ». Le message qui se cache derrière est « je n’existe pas », « je n’ai pas ma place » et sous le silence, il y a bien souvent un sourire affiché en toute circonstance, qui cache une profonde souffrance intérieure. Cet état peut durer très longtemps car l’image première que la personne cherche à renvoyer pour ne pas être confrontée à ce gouffre abyssal, c’est le masque idéal de : la mère/le père courage, l’épouse/l'époux dévoué(e), la fille/le fils obéissant(e) en toute circonstance, nourrissant le "lien de loyauté". Pourtant, des détails sont semés tout au long de son chemin de vie comme des changements d’état imprévisibles : passer de la motivation absolue à la perte d’envie soudaine, passer du déterminisme le plus total à l’abandon le plus profond. L’expression de soi Exprimer ses émotions est si nécessaire et si riche à la connaissance de soi ! Ne pas connaitre son propre fonctionnement intérieur équivaut à avancer sur un fil, à errer sans recul sur soi, sur ses propres expériences et à laisser ses schémas bloquants se répéter indéfiniment. Et puis un jour, bien souvent c’est le corps qui dit stop ou la déception de trop, qui traduit « encore ? mais pourquoi ? pourquoi ai-je tant de mal à trouver ma place ? qu’est-ce qui se passe en moi qui me pousse à nouveau dans ce positionnement ? ». Fatigué(e), lassé(e), on lâche prise et on accepte enfin que l’on peut aussi avoir besoin d’un accompagnement adapté et que cela ne signifie être en échec, bien au contraire, c’est avoir le courage de faire face à soi-même avec l’envie d’un réel changement. Et le travail peut enfin commencer, avec tout ce que cela implique. Accepter de faire ressurgir nos parts d’ombre mais aussi et surtout laisser émerger la lumière en nous, la vraie, l’authentique, celle qui ne se négocie pas mais qui s’impose à soi. La "re-naissance" à soi Dans cet accompagnement, la culpabilité est souvent présente « Quoi ? tu t’es plaint(e) de l’abandon, du rejet ? mais n’as-tu pas agis ainsi toi aussi, à commencer par l’abandon de toi-même ? ». Certes, ce sont des schémas inconscients que la personne reproduit, mais les actions sont pourtant bien réelles avec des répercussions elles aussi bien concrètes. S’avouer que oui, nous aussi nous avons fait souffrir l’autre parfois. On prend alors conscience de sa propre souffrance car cet accompagnement nous met aussi face à nos responsabilités, à la souffrance que nous nous sommes nous-même infligée et par ricochet, aux autres également. Alors, commence enfin le travail du pardon, à soi-même pour commencer, difficile à envisager mais si nécessaire pour avancer sur le chemin initiatique de la résilience et de la « re-naissance à soi».
par Sonia Valognes 24 février 2024
Le deuil est un processus allié de transformation intérieure, propre à chacun, naturel et inconscient, Il sollicite beaucoup d’énergie pour « panser cette plaie du cœur et du corps » car c’est le deuil de l’autre et d’une partie de soi qui ne reviendra jamais. Ce processus évolutif est un long chemin parsemé d’étapes qui nous permet d’apprendre à composer avec l’absence physique, d’apprivoiser tant bien que mal la souffrance causée par la perte, avant de pouvoir transformer le lien qui nous relie toujours à l'être aimé pour enfin reprendre le cours de sa vie. Les étapes : La sidération, le choc : Le choc de la mort d’un être cher vous projette dans le chaos. Tout d’un coup votre vie bascule, c’est l’effondrement C’est un processus de protection naturelle qui se met en place afin de maintenir cet évènement à distance, souvent pendant des mois. C’est une véritable anesthésie émotionnelle car on avance en pilote automatique, déconnectée de ses émotions. Le rituel funéraire a une part très importante dans cette étape car il signifie, entre autres, le changement de relation avec la personne décédée. La fuite, le déni : On sait que la personne est décédée mais on fuit la vague de submersion. On est dans le déni et on fait tout pour détourner l’attention de sa souffrance en étant toujours en mouvement, en agitation. Il se met en place une phase de recherche de la personne à tout prix dans le monde physique, soit en installant partout des photos, en lui parlant tout le temps, en touchant ses vêtements, en sentant son parfum, en cherchant son odeur. On parle de la personne en boucle, on se remémore à l’oral ses goûts, ses habitudes. On cite son prénom pour continuer le lien avec elle. Passer d’une relation sensorielle à une relation qui n’est plus sensoriellement déterminée (ne plus se voir, se toucher, se regarder, se sentir). Cette phase n’est pas pathologique, elle est normale et fait partie du processus de deuil. Il survient alors très souvent l’apparition des signes nommés VSCD (vécus subjectifs de contacts avec un défunt). La déstructuration, la colère : La personne fait face au manque de preuves matérielles de l’absent. Plus assez de lui à l’extérieur et pas assez de lui à l’intérieur. Les personnes de l’entourage appellent moins. On ne s’autorise pas à exprimer sa souffrance auprès des autres car le temps est passé. On est là mais on n’est pas là. La confrontation avec les faits et la réalité engendre un sentiment de colère, ainsi que de nombreuses autres émotions, comme la culpabilité, les remords, le dégoût, ou la répulsion. C’est également une phase de marchandage où l’on désire remonter dans le temps pour changer ses actions et inverser la situation. C’est un vécu dépressif qui peut durer environ 2 ans mais ce n’est pas une dépression. Ce sont des vagues émotionnelles « je vais mieux, je vais moins bien » Il est primordial pendant cette phase de prendre soin de soi : remplacer le « je n’ai pas envie » par « je n’ai pas envie mais c’est nécessaire pour moi ». Le deuil rend également plus fragile un terrain pré existant, d’où l’importance d’accepter l’aide extérieur quand cela est nécessaire. De la tristesse à la résignation : La période la plus douloureuse, après le premier anniversaire, on a l’impression qu’on ne s’en sortira jamais. On fait croire que ça va alors que notre intérieur est dévasté. On a peur de l’oublier, peur de devenir fou tellement l’absence et le manque sont là et nous font mal. On perd alors tout espoir et on finit par se résigner car le temps commence à faire son œuvre, on entre doucement sur le chemin de l’acceptation. De l'acceptation à la restructuration : Au fil du temps, on apprend à se redéfinir soi par rapports aux autres. On peut continuer à vivre sans culpabiliser et on peut aimer à nouveau, différemment mais plus en paix avec soi et avec le monde. On redéfinit la relation avec l’absent. "Qui suis-je désormais ?". On passe d’une relation objective à une relation subjective, on crée une autre nature de relation. On se dit « tiens aujourd’hui je n’ai pas pleuré, je ne l’ai pas cherché partout ». On est plus en paix avec l'absent. On aborde alors une vision plus spirituelle : "qui suis-je devenu par le fait de t’avoir connu, aimé ?", "cette épreuve m’a transformé, mais de quelle façon ?". On peut enfin garder un lien approprié avec l’être aimé et réinvestir le monde. L’accompagnement : Tout au long de ces étapes, il est crucial de prendre soin de soi. Il peut exister, pour certaines conditions de la mort de la personne (brutale), des syndromes de stress post traumatiques reconnaissables par des images intrusives ou des cauchemars à répétition, une hyper vigilance dans le temps, un évitement plus ou moins conscient de tout ce qui me relie à l’événement initial de la mort de la personne. Verbaliser le récit du deuil fait également partie du processus et tous ces échanges ont pour but de libérer la charge émotionnelle. Ainsi, au lieu de la perdre, on se réapproprie l’être aimé doucement : -L’histoire de vie : « Qui as-tu perdu ? », « Parle-moi de cette personne, de la relation que tu avais avec elle ». -Le récit : « racontes moi l’accompagnement, les circonstances du décès, de l’événement jusqu’à l’arrivée des secours et jusqu’aux obsèques ». -Le quotidien : « Où en es-tu ? » (Sommeil, thérapies, sport…), « ton entourage social ?» (Les alliés), « tes émotions ? » (Peurs, reprise du travail, culpabilité, colère, idées noires,...), « Et sur le plan matériel ? spirituel ? » (Le sens des choses). Associé à la souffrance, le récit est aussi considéré comme un processus nécessaire de délivrance. et u n cheminement intérieur se fait alors, nommé résilience. Que la perte d’un être cher soit récente ou pas, il n’est jamais trop tard pour se faire aider si l'on en ressent le besoin tout en considérant le fait que rien n’est définitif car tout évolue en permanence et que chaque chemin est différent. La traversée du deuil va nous permettre de transformer le lien d’amour qui nous unit à l’être cher, au-delà du lien physique. Il n’y a pas d’échelle de valeur dans la souffrance et quelle que soit le deuil vécu et ressenti, c’est une perte de repère qui mérite écoute et douceur .
par Sonia Valognes 1 janvier 2024
Lorsque la mort d’un enfant survient au sein d’une famille, c’est toute la fondation intra-familiale qui vacille et qui parfois s’effondre. En tant que sœur, je souhaite apporter ici un regard propre à mon expérience sur les répercutions que ce drame peut engendrer sur la fratrie, lorsque la communication est absente. En aucun cas il ne s’agit ici de condamner la façon dont certains parents réagissent face à ce drame. Il s’agit avant tout de partager ma propre expérience en espérant que quelque part, une sœur, un frère se reconnaitra et trouvera ici un réconfort en constatant que sa souffrance est, ou a été partagée par d’autres. Mon expérience J’avais 9 ans quand ma sœur est décédée à l’âge de 11 ans, de ce que l’on nomme une « mort subite ». Habituellement réservée aux nourrissons, cette mort inexpliquée, sans antécédent, arrive aussi aux enfants tout comme aux adultes. Ma sœur ainée était mon modèle, mon protecteur, mon phare. Jamais l’une sans l’autre. Notre mère nous habillait de façon identique, même coupe de cheveux, à elle la couleur rouge, à moi le bleu. Nous dormions dans la même chambre, nous étions inséparables. Le silence, ce mot résume à lui seul le deuil tel que je l’ai traversé en tant que sœur car a ucun mot, aucune explication ne me sera donné le soir de sa mort. Nous sommes partis chez des amis en voiture à 4, mes parents, ma sœur, moi et nous sommes revenus à 3. Je ne comprends alors pas pourquoi elle ne rentre pas avec nous mais je ne dis rien car je ressens la gravité de la situation. Les visages figés de mes parents, la sidération prend place et me pousse au silence, au mutisme. Ce soir-là, j’ai dormi seule dans la chambre d’enfant que nous partagions ma sœur et moi la veille encore. Je garde en mémoire le silence effrayant, attentive au moindre bruit et cette peur, cette frayeur nocturne sera présente pendant de nombreuses années. Alors oui, comment expliquer à une enfant de 9 ans que sa sœur ne rentrera pas ce soir, ni les autres soirs ? Ainsi du vendredi soir jusqu’au dimanche je ne recevrai pas un mot, pas une explication sur son absence. Où est-elle ? Et pourtant je sais au fond de moi que c’est grave, car ce que mes parents ignorent, c’est que ce soir-là j’ai surpris ma mère en état de choc, assise prostrée, la tête entre les mains et j’ai compris du haut de mes 9 ans que quelque chose de terrible venait de se produire. 2 jours après le drame, toujours sans un mot, mes parents m’ont laissé chez des amis dont les enfants alors présents utilisent le mot « mort » en parlant de ma sœur, ce qui me projette dans un état second, comme dédoublée, en état de choc. J’entends mais je ne réalise pas, et surtout, j’attends que mes parents me donnent leur explication. Mes parents enfin arrivés, mon père prononce ces mots : « elle était très malade ». Je sais que ce n’est pas vrai, que ma sœur n’était pas malade et que mon père me ment. Je pleure sur ce mensonge et une colère sourde en moi va naître et me « tenir au chaud » pendant des années. Le mot « mort » ne sera jamais prononcé dans la bouche de mes parents et cela aura des conséquences importantes dans ma construction d’adulte et dans mon parcours. Le lendemain, je retourne à l’école seule, comme si rien ne s’était passé et je dois faire face aux questions des autres enfants. Les questions affluent « ta sœur est morte ? », « qu’est-ce qui s’est passé ? ». Comment répondre, alors que je ne sais pas ? que l’on ne me dit rien ? Mes parents finiront par me déscolariser pendant quelques temps. A la maison, pas de pleurs, aucune émotion exprimées…le silence, toujours le silence. Pensant bien faire, mes parents décident très rapidement de vider notre chambre des affaires de ma sœur, d’échanger même notre chambre avec la leur. Tout va très vite et le vide s’installe en moi, aussi froid que le silence et la solitude qui à partir de cet instant feront partie de ma vie. Ma sœur et moi nous étions comme un couple et plus personne ne pourra occuper cette place vide car mon inconscient l’attend toujours. Mon père a vécu le départ de ma sœur avec le refus catégorique d’exprimer et de laisser quiconque exprimer ses émotions. Famille, amis, personne n’avait le droit d’exprimer sa tristesse, son chagrin et pleurer était tout simplement interdit. Cette mort tragique a été un choc terrible pour tous. L’incompréhension murée dans le silence a créé des dommages psychologiques et collatéraux qui sont perceptibles encore maintenant dans la vie de chacun car si elle était ma sœur, elle était aussi pour d’autres la petite-fille, la nièce, l’amie, l’élève. Le processus de deuil Je n’ai réellement commencé le processus du deuil de ma sœur que 29 ans après sa mort, lorsque j’ai atteint l’âge que mes parents avaient au moment de son départ, c’est-à-dire 38 ans. C’est mon corps qui est venu somatiser ce traumatisme enfoui sous la forme d’un AVC (Accident Vasculaire Cérébral). Cet évènement déclencheur est venu réveiller brutalement en moi le besoin vitale de parler, de savoir, de questionner, de remuer un passé douloureux rester trop longtemps sous silence. J’ai réclamé, j’ai enfin osé faire entendre ma voix. Je me suis procuré une copie du rapport d’autopsie que j’ai lu et relu pour tenter de comprendre l’inacceptable. Il me fallait des faits, des détails, aussi douloureux que cela pouvait être pour mes proches ou pour moi. Faire entendre ma voix a été pour moi le début d’un long chemin de guérison intérieur. Ce processus m’a permis de prendre conscience des conséquences, de l’impact dans ma vie, dans ma relation aux autres mais aussi et surtout de ma force et de ma résilience car le processus du deuil permet aussi cela. C’est la raison pour laquelle il est important pour moi de partager mon expérience avec ceux qui sont dans la souffrance. C’est un message d’espoir que je souhaite transmettre car oui, ce chemin est long et douloureux mais il est aussi celui qui nous permet de nous révéler à nous-mêmes. Les conséquences Les schémas et les conséquences qui en découlent sont nombreux car pendant longtemps mon inconscient a cherché à reproduire le rapport fusionnel que j’entretenais avec ma sœur. Les rapports amicaux et amoureux ont longtemps été imprégnés par la peur de perdre l’autre, ce qui se traduisait de façon inconsciente par une dépendance affective, mais aussi une peur de l'attachement et donc un rejet de l'autre et une insécurité permanente. Le mot « mort » n’ayant jamais été prononcé, mon inconscient a longtemps attendu le retour de ma sœur, ce qui se traduisait par une instabilité chronique, un manque d’ancrage dans la vie, une souffrance inconsciente à vivre et à avancer « sans elle ». Il est heureusement possible de se libérer de ces parts inconscientes, de ces peurs et de ces schémas d'instabilité affective et émotionnelle. C’est après un long travail intérieur lié à la mort prématurée de ma sœur mais aussi à d’autres deuils qui ont suivis que cela m’a permis de mettre en lumière et de libérer ces parts d’ombres pour avancer avec plus de confiance et de sérénité. Contrairement aux idées reçues lorsque j’étais enfant, je sais désormais la nécessité vitale de pouvoir exprimer ses émotions et d'être à l'écoute de soi. Faire face à ses ressentis, les accepter mais aussi accepter ceux des autres est primordial pour l'évolution de chacun. Et maintenant ? Par-dessus tout, j’encouragerais les parents à permettre à leurs enfants de verbaliser, de communiquer leurs souffrances, leurs ressentis et s’ils sont dans l’incapacité émotionnelle de le faire eux-mêmes, alors faire intervenir un professionnel. Le silence, les non-dits sont un poison qui peut s’avérer parfois mortel. L’âme blessée fige dans le corps physique des stigmates et dans la psyché des mécanismes d’auto-sabotage que nous ne soupçonnons même pas. L’enfant que j’étais aurait eu besoin d’entendre « non, tu n’es pas responsable de la mort de ta sœur », « oui, nous savons que tu souffres autant que nous », « dis-nous ce que tu ressens », « nous allons avancer pas à pas et nous serons toujours là pour toi ». Libérer sa parole c’est aussi et avant tout aussi libérer celles de nos enfants car si je m’épanoui, mon enfant aussi. Si je souffre mon enfant aussi. Alors, que choisissons-nous ?
par Sonia Valognes 23 mars 2023
Les 7 corps subtils / glandes endocrines / centres énergétiques (chakras) Nos corps subtils, que l’on nomme également corps énergétiques, correspondent à 7 enveloppes d’énergie recouvrant et entourant notre corps physique. Chaque corps subtil possède sa fréquence vibratoire propre. Plus le corps subtil est éloigné du corps physique, plus sa fréquence vibratoire est élevée. Ils s’influencent les uns les autres et interfèrent sur le physique, au niveau de notre santé car ils correspondent avant tout à des glandes, mais également sur notre manière de réagir aux situations, sur nos expériences : • Le corps Physique / Surrénales / Racine : Il est la manifestation la plus dense des autres plans de conscience. Il permet à la conscience d’expérimenter et de ressentir. Il est le véhicule de l’âme. C’est le réceptacle des corps subtils, un lieu d’évolution spirituel, un temple. Il est en lien avec le 1er chakra, que l’on appelle chakra racine, qui se trouve au niveau du périnée et nous relie à la matière, à la Terre. • Le corps Ethérique / Gonades / Sacré : Il enrobe le corps physique comme une fourrure. Il est le support des chakras et des flux énergétiques et assure la protection du corps physique au travers des défenses immunitaires. Plus il est épais et efficace, plus nous nous sentons en forme. Si le corps éthérique est perturbé, cela peut donner lieu à une dispersion d’énergies. Le corps éthérique entoure le corps physique et en même temps déborde sur le corps suivant, il reflète notre état de santé. C'est le plus dense des corps subtils. • Le corps Emotionnel (ou corps Astral) / Pancréas / Solaire : Il s’agit de la part de l’être qui est rattachée aux émotions, aux désirs et aux ressentis. Il les stocke jour après jour, sans filtre, sans tri et sans jugement. Les blocages et dysfonctionnements émotionnels s’y logent avant de se manifester sur le plan physique. Le corps astral est le siège de nos émotions, il est en lien avec le 3ème chakra, que l’on appelle plexus solaire qui se trouve sous le diaphragme au niveau de l’estomac. • Le corps Mental / Thymus / Cœur : Reflet de notre personnalité, ce corps est animé par nos pensées, nos idées et nos croyances (conscientes ou inconscientes). Il réfléchit, calcule, examine et nous permet de prendre des décisions et de trouver des solutions à nos problèmes. Le corps mental est fortement influencé par le corps émotionnel, il est le siège de l’intellect, de nos réflexions, de la raison, il peut exprimer la personnalité, l’égo, il est en lien avec l’intuition, les idées innées et créatives. Il est en lien avec le 4e chakra, le cœur qui se trouve au milieu du sternum. • Le corps Spirituel (ou corps Causal) / Thyroïde / Laryngé : Il correspond à la part divine qui se trouve en chacun de nous. Il se compose notamment du corps causal (super-mémoire qui enregistre toutes les expériences vécues dans notre vie actuelle et nos vies antérieures) et du corps atmique. On y lit également le but et l’objectif fixé pour notre vie. Il est en lien avec le 5e chakra, qui se trouve au niveau de la gorge. • Le plan Bouddhique / Hypophyse / 3ème œil : C’est le niveau de conscience supra mental qui régit les connexions et les relations entre toutes choses, véritable ordinateur central qui gère le tout. A partir de ce corps nous sommes en contact avec l’évolution spirituelle de l’Être. Le corps bouddhique est le siège de la connaissance totale, et de la conscience du "Tout Sacré". C’est le siège de la conscience qui permet de faire preuve de détachement. Il est en lien avec le 6e chakra, qui se trouve au milieu du front, au-dessus des yeux. • Plan Divin (ou plan Atmique) / Epiphyse /Couronne : Il est la conscience de l’unicité, le programme de l’ordinateur central. Le corps atmique, dit corps Christique, est le siège de la conscience cosmique également appelé corps Divin. La fusion entre le corps atmique et le cœur permet de ressentir l’Amour Inconditionnel et la Compassion. Il est en lien avec le 7e chakra, qui se trouve au sommet du crâne.
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